Logement locatif intermédiaire : un levier stratégique pour les promoteurs en zone tendue

Dans un contexte immobilier tendu, les promoteurs cherchent de nouveaux leviers pour relancer leur activité, en particulier dans les zones où la demande reste forte mais l’offre ne suit plus. Le logement locatif intermédiaire (LLI) apparaît comme une solution à la fois souple, accessible et stratégique, tant pour les acteurs privés que pour les territoires.

Un marché sous pression, des perspectives en mutation

Le marché du logement neuf connaît une forte contraction. D’après le Service des données et études statistiques (SDES), les mises en chantier ont chuté de 25 % en 2023, et elles ont de nouveau baissé de 11 % en 2024. Le délai d’écoulement des stocks atteint aujourd’hui 21 mois, contre 9 mois seulement en 2022.

De son côté, SeLoger Neuf observe une diminution de 8 % du nombre de programmes diffusés entre 2023 et 2024. Cette situation est aggravée par un durcissement de l’accès au crédit : augmentation des taux, conditions d’apport plus strictes et hausse des refus bancaires. La production neuve s’effondre dans les zones tendues, là même où la demande reste constante.

Pourtant, toujours selon le SDES, des signes de reprise se dessinent : les prévisions annoncent une remontée des mises en chantier de 10 % en 2025 et de 8 % en 2026. Dans ce contexte, le logement locatif intermédiaire se positionne comme un outil permettant à la fois de maintenir l’activité des promoteurs et de répondre aux besoins de logement des classes moyennes.

Logement locatif intermédiaire : rappel du dispositif

Le LLI désigne un logement à loyer plafonné, destiné aux ménages dont les revenus sont trop élevés pour accéder au logement social, mais insuffisants pour le marché libre. Il s’adresse principalement aux classes moyennes vivant dans des zones tendues – les zones A, A bis et B1 – définies comme prioritaires pour les politiques de logement.

L’accès au LLI est encadré par des plafonds de loyers et de ressources fixés par décret, proches de ceux du dispositif Pinel. Le cadre réglementaire repose généralement sur un financement via le Prêt Locatif Intermédiaire (PLI), un outil utilisé par les bailleurs institutionnels comme CDC Habitat ou Action Logement pour développer cette offre spécifique.

Créé en 2014 pour les professionnels et les investisseurs institutionnels, le dispositif s’élargira à partir de 2025 aux particuliers. Cette ouverture marque une opportunité pour les promoteurs : proposer des biens en LLI, seuls ou couplés avec du LMNP (location meublée non professionnelle), leur permettra de séduire une nouvelle clientèle d’investisseurs privés.

Pourquoi les promoteurs doivent s’y intéresser ?

Face à la baisse de la demande en accession à la propriété, le LLI constitue un levier de diversification précieux. Il permet aux promoteurs de maintenir un volume de production en développant des logements qui répondent à une réelle demande des territoires. En outre, il offre de nouvelles possibilités de partenariat avec des bailleurs institutionnels.

Selon CDC Habitat, le LLI facilite également la sécurisation des opérations via des ventes en bloc ou en VEFA sociale, offrant ainsi une sortie rapide et sécurisée pour les promoteurs. Il contribue aussi à la valorisation des projets auprès des collectivités, sensibles à la mixité sociale et à l’utilité locale des programmes immobiliers.

Avec l’ouverture du LLI aux investisseurs particuliers en 2025, une nouvelle clientèle apparaît. Ces investisseurs auront besoin d’être accompagnés, notamment sur les aspects fiscaux et comptables. Pour les promoteurs, il s’agit d’un produit à forte valeur ajoutée, potentiellement plus rentable que le Pinel, à condition d’en démontrer clairement les bénéfices.

Action Logement rappelle dans ses communications que ce type de logement contribue à loger les actifs proches de leur emploi, en particulier dans les zones urbaines dynamiques, tout en assurant une rentabilité sécurisée sur le long terme.

SeLoger Neuf : un partenaire pour valoriser vos programmes LLI

Dans un marché contraint, la mise en valeur des programmes devient essentielle. SeLoger Neuf propose un accompagnement pour promouvoir les atouts des projets neufs. Grâce à une expertise fine du marché neuf, SeLoger Neuf valorise les programmes dans leur contexte local.

Le LLI, une voie d’avenir pour les acteurs du logement neuf

D’après les chiffres d’Altarea Cogedim, 60 % de leurs logements pourraient être éligibles au Logement Locatif Intermédiaire. Ce modèle souple, adaptable, et à fort impact social, s’impose progressivement comme un pilier des stratégies de développement pour les promoteurs opérant dans les zones les plus tendues du territoire. Dans un contexte de crise du logement, les collectivités comme les porteurs de projets attendent des réponses, or le LLI pourrait combler une partie de ces attentes et représenter une solution durable à longue portée.

Quelles évolutions métier avec les nouveaux outils de l’IA ?

L’irruption de l’intelligence artificielle en milieu professionnel bouleverse nos pratiques et induit des changements majeurs tant dans l’environnement de travail que dans la redéfinition des fonctions métier. Au service des acteurs de l’immobilier de cession de bureaux et de fonds de commerce, l’IA peut faire des émules et même devenir un outil de prédilection pour booster ses activités, son image de marque, optimiser l’expérience client ou gagner un temps précieux pour le consacrer à des tâches plus nobles. À condition de prendre le train en marche et de bien apprivoiser toutes les potentialités de ces technologies. Explications.

Immobilier de bureau, un secteur en pleine mutation 

Après une année en demi-teinte marquée par la baisse de l’activité locative et transactionnelle, plusieurs facteurs ont concouru à fragiliser le secteur de l’immobilier de bureau, dont un contexte géopolitique inédit et la hausse des taux directeurs. Plus encore, les mutations enclenchées à la suite de la crise sanitaire ont profondément remodelé l’environnement professionnel avec l’émergence de nouvelles pratiques comme le télétravail, les tiers-lieux, le flex-office, le coworking et autres modes de travail hybride.

Flexibilité, le maître-mot des nouveaux modes de travail 

Sans surprises, l’immobilier de bureau a été confronté de plein fouet à ces nouveaux enjeux, avec une baisse de la demande classique et une accélération des projets hybrides, qui requièrent des ajustements significatifs dans la façon de concevoir l’offre commerciale et de répondre aux nouvelles demandes des clients, de plus en plus informés et exigeants tant en termes de réactivité, que de données fiables et d’accompagnement personnalisé.

Selon les données de SeLoger bureaux & commerces, les recherches pour les bureaux flexibles sont en augmentation d’environ 10 % en février-mars 2025 par rapport à la même période en 2024. 

IA et solutions digitales : une boîte à outils augmentée pour les spécialistes

Dans un contexte où les attentes des acheteurs et des vendeurs évoluent rapidement, l’agent immobilier spécialisé est appelé à réinventer son modèle et ses pratiques pour gagner en efficacité, en crédibilité et en business. A ce titre, les nouveaux outils digitaux et les interfaces conversationnelles de l’IA arrivent à point nommé pour accompagner le changement et rebattre les cartes de la façon de concevoir, réaliser et vivre son métier. Et ce, à toutes les étapes du processus commercial, en permettant par exemple :

Avant la mise en vente : 

Pendant la commercialisation : 

Pour le suivi client :

Les apports de l’IA dans le quotidien de l’agent immobilier de terrain 

Loin d’être une menace pour les métiers de l’immobilier en général et de bureau en particulier, l’IA s’impose davantage comme un allié de performance et de compétitivité, tout en proposant une source de productivité inégalée et bien d’autres bénéfices, parmi lesquels :

Comment bien appréhender l’IA générative et s’approprier ces outils optimisés ? 

Si l’IA n’est pas destinée à remplacer un agent immobilier, elle peut le rendre « augmenté » dans ses fonctions, notamment en matière de compétences relationnelles et émotionnelles, qui requièrent empathie et leadership. Pour investir ces nouveaux rôles et faire de la technologie un allié à son service, il importe de bien s’approprier ces technologies en prenant soin de :

En conclusion, l’IA ne remplace pas le bon agent, elle le rend plus puissant. Être plus qu’un intermédiaire, devenir un partenaire stratégique : voilà le nouveau rôle de l’agent immobilier B2B.  Retrouvez nos conseils et cas pratiques lors de notre prochaine web conférence dédiée à l’IA le jeudi 15 mai 2025 à 14h. Pour vous inscrire, cliquez sur ce lien.

Perspectives 2026 de l’immobilier de luxe : entre rebond et repositionnement stratégique

L’immobilier de luxe en France affiche un potentiel de rebond à l’horizon 2026, malgré les tensions récentes liées à la remontée des taux d’intérêt et à un contexte économique globalement incertain. Tiré par le dynamisme de la clientèle internationale et soutenu par une demande toujours forte pour les biens ultra-premium, ce marché se transforme et se diversifie, tant sur les localisations visées que sur les prestations proposées. Décryptage des principales tendances et perspectives d’évolution du secteur selon les dernières analyses de Xerfi.

Un redémarrage progressif après une phase de ralentissement

La hausse brutale des taux d’intérêt entre 2022 et 2024 a pénalisé les transactions dans le segment dit « premium », à savoir les biens dont la valeur est comprise entre 1 et 3 millions d’euros. Cette clientèle, souvent composée de ménages aisés ayant recours au crédit, a été directement impactée par le durcissement des conditions d’emprunt. Résultat : une baisse des prix dans des villes comme Bordeaux ou Boulogne-Billancourt, et une réduction du volume de ventes.

Mais cette tendance pourrait s’inverser. Les prévisions pour 2025 et 2026 sont optimistes : une reprise du chiffre d’affaires des agences immobilières spécialisées, avec des croissances annuelles moyennes estimées à +6 % en 2025 et +8 % en 2026. La détente attendue sur les taux devrait relancer la demande et inciter de nombreux vendeurs à remettre leurs biens sur le marché.

L’ultra-luxe, moteur de croissance et valeur refuge

Peu sensible aux variations des taux, le segment de l’ultra-luxe (biens supérieurs à 3,2 millions d’euros) continue, lui, de séduire. Ce sont les grandes fortunes étrangères qui portent principalement ce marché. La Côte d’Azur, les stations alpines et bien sûr Paris, restent des destinations de choix, perçues comme des investissements sûrs et prestigieux.

Monaco a d’ailleurs fait une percée remarquable en se classant parmi les villes les plus recherchées par les très hauts patrimoines, aux côtés de Paris, elle-même en tête du classement européen. Cette attractivité est amplifiée par une parité euro/dollar avantageuse pour les Américains, ainsi que par le retour de certains expatriés français après le Brexit.

L’essor stratégique de la location saisonnière haut de gamme

Parallèlement à l’achat-vente, la location saisonnière de luxe connaît un essor notable. De plus en plus d’investisseurs optent pour des biens à fort rendement locatif dans des zones touristiques haut de gamme comme la Côte d’Azur ou les Alpes. Les agences spécialisées, telles que Barnes, Michaël Zingraf ou Émile Garcin, développent des services sur mesure : conciergerie, gestion locative complète, prestations exclusives (voiturier, chef privé, hélicoptère…).

Cette diversification permet de fidéliser les clients investisseurs et de capter une clientèle internationale exigeante en quête d’expériences uniques.

L’expérience client comme facteur différenciant

Dans l’immobilier de luxe, la dimension émotionnelle et expérientielle prend une place croissante. Les agences misent sur l’ultra-personnalisation de l’accompagnement : conseil patrimonial, événements privés, service après-vente étendu. L’objectif est de créer un lien fort avec une clientèle qui valorise autant la relation que le produit.

Barnes pousse ce concept encore plus loin avec son offre « Art de vivre », qui englobe non seulement des biens d’exception (châteaux, domaines viticoles, propriétés de chasse…), mais aussi des services exclusifs comme le yachting, l’aviation privée ou les rallyes automobiles. L’enseigne a même lancé des concepts hybrides mêlant immobilier, restauration et hôtellerie de luxe.

Une présence renforcée sur les emplacements iconiques

Les grandes marques de l’immobilier de prestige poursuivent leur implantation sur les zones les plus convoitées : Paris intra-muros, la Rive Gauche en particulier, mais aussi Cannes, Saint-Tropez ou Mougins. La Côte d’Azur reste la locomotive du secteur avec un volume de ventes en hausse et des prix toujours orientés à la hausse.

Mais face à la saturation des marchés ultra-premium, de nouvelles zones montent en puissance. Le golfe du Morbihan, la Côte basque ou la Normandie séduisent de plus en plus, portées par la généralisation du télétravail et l’attrait pour des résidences secondaires haut de gamme dans un cadre préservé.

Une communication orientée réseaux sociaux et image de marque

Les réseaux d’agences immobilières de luxe investissent massivement dans les réseaux sociaux pour toucher une clientèle jeune et connectée. Instagram est devenu un canal de prédilection pour diffuser du contenu immersif — photos de biens spectaculaires, vidéos filmées par drones, visites virtuelles — dans une logique de « porn real estate » très appréciée des millénials fortunés. Certaines agences, comme Vaneau ou Kretz Family, ont ainsi développé de vastes communautés digitales dépassant les centaines de milliers d’abonnés.

L’enjeu fiscal : une incertitude à surveiller

Enfin, une ombre pourrait venir ternir ces perspectives : la fiscalité. L’éventuelle hausse de l’IFI et les discussions autour d’une contribution renforcée des ultra-riches inquiètent certains investisseurs. Une taxation accrue pourrait en effet inciter une partie de la clientèle fortunée à s’orienter vers d’autres marchés plus favorables.

Télétravail : mutations et influences sur la localisation des achats

Le télétravail est devenu une réalité du quotidien. Selon Statista, au 31 janvier 2024, 36 % des salariés français télétravaillent de façon régulière ou plus ponctuelle. Quelles sont les grandes tendances susceptibles d’influencer les achats ou locations dans l’immobilier de bureau en 2025 ?

Télétravail et immobilier de bureau : un marché en pleine mutation

En 2024, l’immobilier de bureau en Île-de-France a connu un net repli. La demande a chuté de 11 % selon Immostat. Le taux de vacance atteint un niveau inédit. Le ralentissement structurel montre un basculement profond, lié notamment à l’essor du télétravail.

Les habitudes professionnelles évoluent. Un modèle hybride s’impose de façon progressive dans les mœurs. Selon le ministère du Travail, environ un million de salariés souhaiteraient télétravailler davantage. La demande n’est plus seulement organisationnelle : elle devient sociale.

Les dynamiques varient selon les marchés. Aux États-Unis, certaines entreprises reviennent à un fonctionnement plus traditionnel. Amazon, Facebook, Instagram ont mis fin au télétravail. Le recul reste, pour l’heure, incertain en France. 

Face aux mutations en cours, les acteurs du bureau repensent leur offre. Le poste de travail se déplace, se redéfinit, mais conserve sa valeur dans l’identité d’entreprise.

Immobilier de bureau : une transformation des besoins

Le télétravail bouscule les fondamentaux du bureau traditionnel. Les entreprises réduisent leurs surfaces en centre-ville. Elles investissent dans des espaces plus modulables, capables d’accompagner l’évolution des usages. L’espace de travail typique perd en mètres carrés mais gagne en fonctionnalité.

Les bureaux doivent désormais permettre à la fois la concentration individuelle et l’interaction collective. L’équilibre exige une réflexion nouvelle sur :

Les espaces modulaires aux configurations réversibles s’imposent. Bureaux partagés, flex office, salles polyvalentes… La rationalisation devient une priorité. Les entreprises s’orientent vers des solutions capables d’épouser des rythmes de travail plus hétérogènes. La mutation ouvre la voie à des opportunités d’investissement, notamment dans la réhabilitation d’actifs existants

Le coworking, de son côté, confirme sa montée en puissance. D’abord adoptés par les startups, les espaces collaboratifs séduisent désormais les grandes entreprises. Projets ponctuels, équipes mobiles, besoins temporaires… La flexibilité prime ! 

Bon à savoir – Immobilier de bureau : attirer les nouveaux acheteurs

Visites virtuelles, avis clients, recherches boostées à l’IA, ciblage sur les réseaux sociaux… Autant de leviers susceptibles de capter les nouveaux acheteurs. SeLoger Bureaux et Commerces vous propose des solutions concrètes pour accompagner l’évolution rapide des usages dans l’immobilier professionnel et améliorer votre stratégie de communication. Pour en savoir plus, inscrivez-vous à la webconférence sur l’IA prévue au printemps 2025 – “Stay tuned” pour les inscriptions.

Quel impact sur la localisation des investissements immobiliers ?

En 2025, la localisation demeure un critère central de la prise de décision immobilière. Toutefois, les paramètres évoluent. L’offre globale en Île-de-France a progressé de 10 % en 2024. Au même moment, la demande reculait de 14 %. En régions, la demande bondit de 38 %. L’offre, en hausse de 33%, peine à suivre. Le rééquilibrage géographique reflète une mutation profonde du marché.

Le bon équilibre entre coûts maîtrisés, accessibilité, cadre de vie devient la nouvelle équation gagnante aux yeux des entreprises comme des investisseurs.

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Le marché de l’immobilier tertiaire entre dans une phase de transformation profonde. Flexibilité, hybridation, adaptation deviennent les maîtres-mots. Les professionnels capables d’anticiper les mutations, d’exploiter les données, de proposer des offres sur mesure sauront tirer parti des nouvelles dynamiques à l’œuvre.

Les 3 points clés à retenir :

Luxe et hyper luxe à Paris : adapter son offre au service d’une expérience clients exceptionnelle

Fief historique de l’immobilier de luxe et de l’hyper luxe, la capitale et les communes huppées de l’Ouest parisien continuent de jouer les porte-drapeaux d’un marché hors-norme. Parfois décorrelé des réalités économiques et politiques – qui impactent plus durement le marché classique et premium partout en France – l’ultra-luxe voit toujours plus grand et plus haut, avec des ventes flashs à prix (très) fort, quand elles cochent toutes les cases d’exigences élevées ou insolites. Quelles sont les principales attentes de ce segment de niche ? Comment adapter son offre, se démarquer, conquérir et fidéliser une clientèle fortunée en quête d’idéal et de personnalisation ? On fait le point.

À Paris, le vrai luxe se négocie au-dessus de 20 000 €/m2

Dans le vaste marché de l’immobilier d’exception, il convient de distinguer luxe et hyper luxe, l’un concernant davantage les sommes en jeu – avec des seuils généralement fixés à 1,2 million d’euros ou 12 000 €/m2 à Paris – que la « luxuosité » du bien à proprement parler, cette enveloppe permettant l’acquisition d’un bel appartement de 80-100 m2 dans un quartier huppé à Paris, sans qu’il s’agisse d’un palace aux prestations mirobolantes. Concernant l’hyper luxe, les spécialistes du marché placent davantage le seuil des ventes à 3,2 millions d’euros ou des prix au m2 souvent supérieurs à 20 000 €, qui concentrent quelque 10 % des transactions les plus onéreuses, atteignant parfois des sommets. Au-delà du facteur budget, les biens concernés proposent des caractéristiques d’exception, avec un emplacement et une vue exceptionnelle, ainsi que des prestations très haut de gamme et, surtout, des atouts de plus en plus différenciant.

Deux marchés, deux vitesses

À ce titre, si la tranche des biens premium a marqué un temps d’arrêt entre 2023 et 2024 à Paris intra-muros, avec un volume d’affaires en recul et un léger fléchissement des prix selon les arrondissements et les villes « stars » de l’Ouest parisien, l’hyper luxe s’est montré bien plus résilient face aux turbulences conjoncturelles et aux secousses de l’actualité internationale. Ce marché très concentré est en effet moins sensible à l’inflation et aux fluctuations des taux d’intérêt et attire une clientèle étrangère très fortunée, avec notamment le retour en force des investisseurs américains dans la Ville lumière, pour qui le prix de la pierre française reste abordable en raison de leur niveau de vie supérieur et d’un taux de change euro/dollars très favorable. Plus que jamais sous les feux de la rampe durant les Jeux olympiques 2024, Paris devrait d’ailleurs continuer d’aimanter une clientèle d’ultra-riches en pleine expansion, avec de belles perspectives de croissance à venir.

Selon une étude Xerfi, les revenus des agences immobilières spécialisées dans le luxe pourraient connaître une croissance de 6 % en 2025, et 8% en 2026.

Les biens clés en main se vendent rapidement et à prix (toujours) plus fort

« Il y a une vraie demande pour les biens clé en mains, luxueusement rénovés, avec tous les services, qui vont se vendre très cher, entre 25 000 et 40 000 euros le m2 dans les beaux quartiers de Paris », explique Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes. Selon une récente étude du réseau, le segment des ventes supérieures à 5 millions d’euros à Paris et à Neuilly-sur-Seine a progressé de plus de 40 % en volume au premier quadrimestre 2024, avec un prix moyen de 28 000 €/m².

Pour Barnes, le portrait-robot des biens « pépites » qui font l’objet de ventes « flash » au prix fort et sans négociations concernent surtout les grandes surfaces de plus de 250 m2, au confort et aux prestations incomparables, situées Rive gauche et dotées d’une vue privilégiée sur les monuments parisiens.

À grandes fortunes, grandes exigences

Mais si l’ultra premium se paie toujours plus cher, c’est aussi au prix de desiderata de plus en plus prégnants, que les professionnels du segment doivent appréhender avec soin pour adapter et étoffer leur offre. Mais aussi se démarquer en faisant preuve d’inventivité pour attirer et fidéliser une clientèle fortunée plus que jamais en quête de perfection et d’exclusivité. Plusieurs tendances et facteurs d’attractivité se distinguent : 

Des biens d’exception « clé en main », sans travaux ni le moindre défaut.

Des produits rares, uniques aux caractéristiques incontournables : emplacement hyper select, vue dégagée sur la capitale et ses monuments remarquables, étage noble et lumineux.

Des prestations très haut de gamme, tant en termes de rénovation, de décoration, d’ameublement et de matériaux nobles que de confort, avec la présence de technologies dernier cri – domotique et Internet des objets (IoT).

Pour certains clients, les facteurs environnementaux pèsent de plus en plus lourd dans la balance, avec une attention particulière portée à la performance énergétique du bien, aux matériaux durables et à la gestion écologique.

La personnalisation n’est pas en reste. Pour Barnes, une nouvelle tendance serait, par exemple, de proposer aux acheteurs de choisir parmi un large éventail d’œuvres d’art, spécifiquement sélectionnées pour le bien convoité par des galeristes de renom.

L’excellence de l’hôtellerie de luxe réinvente les codes du résidentiel haut de gamme…

… Cela donne naissance à des projets d’exception, à l’image de celui que le groupe hôtelier Maybourne inaugurera en 2027 à Saint-Germain-des-Prés. Au sein de son futur hôtel 5 étoiles, 23 résidences privées verront le jour, pensées par deux figures majeures du design d’intérieur français. Ces résidences offriront à leurs occupants – et à leurs invités – un accès privilégié à six espaces de restauration et de bien-être nichés dans l’hôtel voisin, ainsi qu’à une somptueuse piscine de 25 mètres. Un art de vivre exclusif, inspiré par l’élégance intemporelle de l’architecture haussmannienne. L’ouverture de ces résidences permettra à quelques privilégiés de tisser leur propre héritage au cœur de cette ville iconique. Avec un cadre d’une beauté intemporelle, ces résidences deviennent un témoignage vivant de l’attrait durable de la capitale française, l’incarnation d’une nouvelle ère de vie raffinée à Paris.

Les clés pour se démarquer en misant sur la dimension expérientielle

Répondre aux principales exigences de sa clientèle, c’est bien, mais l’attirer à soi et la fidéliser en se démarquant de la concurrence et en mettant en place des stratégies innovantes, c’est mieux. Plusieurs ingrédients sont à concocter :

L’image de marque, déterminante dans cet univers, tant pour la qualité et la pertinence des biens proposés, travaillée avec les leviers du marketing de contenu.

Des publications exclusives :

– Émile Garcin édite des magazines tels que Émile Sud-Est, offrant des visites privées de propriétés d’exception, des rencontres avec des artisans et des portfolios de biens sélectionnés.

Junot magazine du groupe homonyme est bien plus qu’une simple vitrine immobilière. Il s’agit d’une publication hybride, mêlant éditorial et annonces immobilières, reflétant ainsi la puissance et la notoriété d’un groupe expert en immobilier haut de gamme. En complément du magazine, Junot propose également le Journal de Junot, partageant toute l’actualité de l’immobilier de luxe en France et à l’international. Un condensé de bonnes adresses, de rencontres passionnantes, ainsi que de découvertes de savoir-faire artisanaux et de designers inspirants.

Une expérience sur mesure grâce à un accompagnement et des services haut de gamme personnalisés. À Paris, Sotheby’s a inauguré « The Salon » au 83, rue du Faubourg Saint-Honoré, un nouveau flaship offrant aux clients une expérience immersive avec des expositions, des ventes privées et un café proposant une cuisine parisienne raffinée.

La confidentialité des transactions et une discrétion à toute épreuve, pour préserver l’entre-soi social et garantir la sécurité des occupants.

Une forte présence sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook…) pour donner plus de visibilité et créer des sensations fortes.

Des campagnes de marketing digital, avec des visites en « live » et des expériences immersives– diffusion d’images et de vidéos hautement qualitatives – capables de créer de l’émotion et même de déclencher des coups de cœur en ligne.

Le développement du « off-market » [les biens qui ne font pas l’objet d’une publication par annonce, ndlr], pour les biens rares comme les hôtels particuliers ou les produits dotés d’un extérieur, d’une piscine ou d’un SPA, de plus en plus de clients exigeant d’être les premiers à visiter un bien qui leur serait ainsi « réservé ».


Etude Xerfi « Le marché de l’immobilier de luxe à l’horizon 2026 »
Etude Barnes, « Le marché de l’immobilier haut de gamme à Paris et en région parisienne

Tout savoir sur le PTZ prolongé et élargi jusqu’en 2027 ! 

Bonne nouvelle pour les acquéreurs et les professionnels du logement : le Prêt à taux Zéro a été reconduit dans la loi de Finances jusqu’en 2027, en plus d’être élargi à l’ensemble des logements neufs en France. Une véritable opportunité pour les marchés du neuf, de la construction et de la rénovation en 2025.  

Retour du PTZ dans l’immobilier neuf, individuel et collectif

Créé en 1995, le Prêt à Taux Zéro (PTZ) est un dispositif de l’Etat pour soutenir la primo-accession en résidence principale des ménages sous conditions de ressources de leur résidence principale dans l’ancien à rénover, et de nouveau dans le neuf* à partir du 1er avril 2025 et jusqu’au 31 décembre 2027, sur l’ensemble du territoire hexagonal, sans distinction entre zones tendues ou détendues. 

« Mon objectif principal pour 2025 est de relancer l’accès à la propriété : cela permet de fluidifier le parcours résidentiel et redonner confiance aux professionnels du secteur. Permettre à chacun de pouvoir devenir propriétaire, c’est renforcer un parcours de vie, se constituer un petit patrimoine. Construire davantage, en visant au moins 15 000 logements supplémentaires aidés par le PTZ, c’est aussi accompagner le monde de la construction », a précisé Valérie Létard, ministre chargée du Logement dans Immo matin 19 février dernier.

*Pour rappel , un bien immobilier est considéré comme neuf s’il a été achevé il y a moins de cinq ans. 

Des conditions plus favorables à un plus grand nombre de primo-accédants

Les seuils de revenus ont été augmentés, permettant à un plus grand nombre de ménages d’accéder au Prêt à Taux Zéro. Et la durée de remboursement du PTZ peut s’étendre jusqu’à 25 ans, avec une période de différé modulée selon les tranches de revenus.

La part du coût total de l’opération finançable via le PTZ pourra atteindre jusqu’à 50 % pour les appartements neufs, et jusqu’à 30 % pour les maisons neuves, contre 50 % avant que ces dernières soient exclues du dispositif, en janvier 2024. Si le dispositif est techniquement un peu moins puissant qu’avant sa suppression pour les constructeurs de maisons individuelles, son retour devrait permettre un redémarrage du secteur, en grande difficulté. « C’est une nouvelle encourageante qui va permettre de relancer le marché immobilier du Neuf et de la Construction après des années compliquées. Grâce à la fin des restrictions géographiques et au grand retour de la maison individuelle au sein du PTZ, nous sommes persuadés que c’est une réelle opportunité pour les primo-accédants de devenir plus facilement propriétaires.” indique Barthelemy Nevot, Sales Director BtoB chez SeLoger France (Aviv Group)

La relance du marché du neuf. Ce nouveau PTZ élargi devrait permettre de produire 15 000 logements supplémentaires en 2025, d’après les estimations ministérielles. 

Cette nouvelle version du PTZ est destinée à stimuler l’accès à la propriété partout en France, notamment dans des zones rurales ou périurbaines. Elle devrait encourager davantage de ménages à devenir propriétaires, notamment dans les zones où l’offre était historiquement limitée. Une bonne nouvelle pour les professionnels du secteur du bâtiment, pour qui l’élargissement du PTZ est un bon moyen de développer la construction de logements neufs et la rénovation de biens immobiliers anciens sur l’ensemble du territoire. « Plus globalement, le PTZ élargi à tout le territoire, la baisse des taux d’intérêt et l’évolution de la fiscalité sur les donations exonérées, si elles viennent financer des achats dans le neuf, sont des nouvelles qui vont redonner des couleurs à cette filière », explique Alain Letailleur, directeur de l’animation chez SeLoger (Aviv Group). 

Face à ces nombreuses évolutions du PTZ, il est essentiel de vous associer, en tant que professionnel du logement, à des partenaires de confiance. En collaborant avec le groupe SeLoger, vous bénéficierez d’une expertise reconnue et de l’efficacité de nos sites (N°1 audience sur les sites d’immobilier Neuf en France) pour répondre à vos attentes en termes de visibilité et d’accès à de futurs clients intentionnistes.

Loi Climat et résilience : c’est à Paris qu’elle peine le plus à être respectée

Depuis le 1er janvier 2025, et la promulgation de la loi Climat et résilience, les locations de biens classés G sont interdites. Pourtant, d’après une étude SeLoger, cette loi peine encore à être respectée, notamment dans la capitale.  

Un marché parisien à la traîne

Depuis l’entrée en vigueur de la loi Climat et résilience, les logements les moins performants énergétiquement se sont vus interdits à la location. Une mesure qui vise non seulement à protéger l’environnement et le locataire, mais aussi à rénover petit à petit le parc immobilier.  

En 2024, le nombre de logements classés G mis en location avait déjà chuté de 16 %, notamment grâce à l’anticipation des bailleurs. Malgré tout, 2,3 % des annonces de location faisant figurer un DPE au 15 janvier 2025 mentionnaient encore cette classe…

Parmi les retardataires, Paris fait particulièrement figure de mauvaise élève, avec la publication de 4,7 % d’annonces locatives pour des logements classés G. 

Un chiffre probablement sous-estimé, car les annonces concernant la capitale semblent prendre des libertés avec une autre obligation légale : celle de faire figurer le DPE dans l’annonce ! Si 18 % des annonces analysées par nos équipes ne respectent pas cette loi au niveau national, ce chiffre monte à 35 % à Paris, soit environ une annonce sur 3.  

Sachez que la non-publication du DPE dans une annonce n’est pas sans risques. Elle peut en effet conduire à une amende, allant jusqu’à 3 000 € pour une personne physique.

Où sont passés les logements classés G ? 

Bien qu’il en reste encore sur le marché locatif français, le nombre de logements avec un DPE de classe G a tout de même connu une baisse significative. Celle-ci peut s’expliquer par les 2,44 millions de logements rénovés entre 2020 et 2024, mais ce n’est pas la seule explication possible.

Par ailleurs, si le nombre de logements classés G disponibles à la location a baissé, celui des logements classés de A à F a quant à lui augmenté de 11 %. C’est le signe que de nombreux bailleurs de cette catégorie récemment interdite ont retiré leurs biens du marché locatif. 

D’après nos experts, ces logements existent toujours, ils ont simplement changé de destination. 

La nouvelle réglementation étant uniquement axée sur les habitations en location, on constate également un report sur la vente. En effet, en ce qui concerne les logements destinés à l’achat, on peut noter une augmentation de 25 % des annonces concernant les logements classés F ou G. Cette solution semble donc plus opportune que la rénovation, dans certains cas, pour rester sur le marché locatif. 

Une loi impactante, malgré tout 

Si la loi Climat et résilience n’est pas encore parfaitement appliquée — tant par rapport au nombre de locations de biens classés G qu’à celui des absences de DPE dans les annonces — l’heure n’est pas pour autant à la stagnation. 

Comme l’explique Thomas Lefebvre, le vice-président Data de SeLoger, « Mesurer l’impact d’une loi, c’est avant tout regarder d’où l’on vient. Et si l‘on considère la situation antérieure à la loi, l’amélioration est nette : la part des annonces sans DPE a été divisée par 2, ce qui est une belle avancée ».

Une amélioration, qui devrait donc se poursuivre de façon progressive au cours des années à venir !

Toujours d’après Thomas Lefebvre, la disparition totale des annonces avec un DPE classé G ne viendrait pas particulièrement accentuer le phénomène de pénurie de biens à louer, « qui est en fait principalement lié au durcissement des conditions de crédit ».

Avec sa nouvelle campagne TV, SeLoger plonge dans le quotidien des Français

SeLoger repart en campagne TV du 6 au 26 mars prochains ! L’objectif pour le portail immobilier préféré des Français ? Démontrer le rôle central que joue SeLoger dans le parcours de vie des particuliers. Décryptage.

SeLoger : le partenaire d’une vie immobilière

Il faut dire qu’avec sa trentaine d’années d’existence et ses près de 50 millions de visites par mois,  SeLoger s’est imposé au cœur de la vie immobilière de millions de Français. Et force est de constater que la vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille, mais souvent ponctuée de choix, de surprises, d’événements plus ou moins heureux, de rencontres, et aussi parfois d’accidents… Autant d’étapes que l’on peut lire et retrouver dans la trajectoire immobilière de chacun, et c’est cet angle qu’a choisi le portail immobilier pour communiquer dans sa nouvelle campagne TV.

Raconte-moi ton parcours immobilier et je te dirai qui tu es

« Nous avons imaginé cette campagne pour créer de l’engagement et de la conversation autour d’un concept clé : raconte-moi ta trajectoire immobilière, je te dirai qui tu es », précise Agathe Weil, directrice marques et design de SeLoger. Et de poursuivre : « Avez-vous déjà songé, ou tout simplement listé, les différents logements que vous avez occupés depuis votre naissance ? Peut-on y lire une cohérence ? Votre vie en est le fil rouge et SeLoger se propose d’en être le lien, à votre service. »

À l’image d’Emma, l’héroïne du spot TV, chacun d’entre nous construit ainsi sa propre « tour immobilière », escaladant chaque étape grâce à SeLoger. Et pour cause, chaque logement évolue le plus souvent de concert avec l’évolution de la vie. De la vie étudiante à la vie en couple, de la naissance des enfants au départ à la retraite… De nouveaux espaces s’ajoutant aux anciens, et dans ce domaine, « SeLoger se positionne comme le partenaire de confiance qui permet à chaque Français de rester concentrer sur sa vie, en facilitant son projet immobilier avec des services de choix comme la recherche en continu ou l’estimation par exemple », explique Mirjam Aardoom, VP Brand & Communication de SeLoger.

Un plan média ambitieux

Pour cette nouvelle campagne publicitaire qui sera diffusée, du 6 au 26 mars prochains, sous plusieurs formats en TV, SeLoger a décidé de frapper fort. Ainsi pour toucher au maximum les 25-49 ans, les moyens ont été concentrés sur les chaînes les plus puissantes affinitaires de cette cible : TF1, France TV, M6, TMC, RMC, L’EQUIPE TV ou BFM. Le spot publicitaire sera également accompagné de plusieurs relais en digital et sur les réseaux sociaux. Un plan média 360 ambitieux qui devrait permettre à la marque SeLoger de générer, à lui seul, près de 120 millions de contacts.

« Nos investissements publicitaires en TV viennent accroître l’audience de notre site et la qualité des contacts pour nos clients, professionnels de l’immobilier. C’est pour cette raison que nous investissons massivement en marketing avec une hausse cette année de +25% par rapport à 2024 », conclut Baptiste Capron, Directeur Général de SeLoger.

«Notre partenariat avec SeLoger a du sens » : la success story d’ikami avec Elian Mimouni et Stéphane Trionfini

Depuis sa création en 2011, ikami s’impose comme un acteur clé du marché immobilier, en misant sur un modèle innovant et un accompagnement sur-mesure de ses conseillers. Porté par ses co-fondateurs, Elian Mimouni et Stéphane Trionfini, le réseau connaît une croissance soutenue en France et à l’international, tout en s’appuyant sur des partenariats stratégiques comme celui avec SeLoger. 

Une vision forte et un modèle économique performant

Dès le départ, ikami a choisi une approche différenciante basée sur trois piliers : l’accompagnement, la formation continue et un modèle économique vertueux en MLM (marketing de réseau) équilibré sur quatre niveaux, « afin de permettre aux conseillers de bâtir un véritable plan de carrière », précise Stéphane Trionfini.

Grâce à cette stratégie, ikami compte aujourd’hui plus de 300 conseillers en France et affiche une croissance constante avec une moyenne de dix nouvelles recrues par mois. Un succès largement dû à la recommandation interne, preuve de la solidité du réseau et de la satisfaction de ses membres.

Un développement à l’international et des perspectives ambitieuses

Depuis 2020, ikami a franchi les frontières avec une implantation en Suisse, puis en Espagne en 2022, où plus de 100 conseillers ont déjà rejoint le réseau. Une dynamique qui ne cesse de s’accélérer avec des perspectives de recrutement ambitieuses pour 2025 : entre 10 et 15 nouveaux conseillers par mois et une croissance du chiffre d’affaires estimée à +30 %.

Malgré les défis du marché immobilier, les co-fondateurs restent confiants et prônent un retour aux fondamentaux pour accompagner acheteurs et vendeurs avec pédagogie et endurance. « Nous avons démarré en pleine crise, nous savons y faire face et inculquons cet état d’esprit à nos conseillers », soulignent-ils.

Un partenariat stratégique avec SeLoger pour maximiser la performance

Conscient de l’importance de la visibilité pour ses conseillers, ikami s’appuie depuis plusieurs années sur un partenariat clé avec SeLoger. Ce partenariat s’avère extrêmement bénéfique, avec une augmentation de 70 % des contacts en 2024(1).

Grâce aux dispositifs de communication avancés comme DUO Success, Boost Liste et Luxury, les conseillers bénéficient d’outils puissants pour maximiser leur performance sur le marché, notamment sur les mandats de prestige.  « Notre rôle est de donner toutes les chances de réussite aux conseillers qui nous font confiance », affirment les deux co-fondateurs.

Un modèle gagnant tourné vers l’avenir

Ikami illustre parfaitement la réussite d’un réseau fondé sur l’accompagnement, l’innovation et des valeurs fortes. En combinant une croissance maîtrisée, un développement international ambitieux et un partenariat efficace avec SeLoger, l’entreprise se positionne comme un acteur incontournable du secteur immobilier. Les années à venir s’annoncent prometteuses, avec une volonté affirmée de poursuivre cette dynamique et d’offrir toujours plus d’opportunités à ses conseillers.

(1)Source interne – En comparaison avec l’année précédente

Gironde : les clés pour décoder votre marché local et réussir en 2025

Dans un marché immobilier qui reprend des couleurs, les perspectives sont plutôt optimistes pour 2025, avec une reprise de la demande, des taux d’intérêt en léger recul et des stock de biens qui se reconstituent progressivement. Un contexte favorable pour tirer pleinement profit de cette nouvelle dynamique. Entre proximité resserrée et innovations en local, SeLoger revigore son organisation commerciale régionale et met à disposition des équipes de conseillers de proximité et des outils ciblés pour renforcer votre visibilité et capter plus d’audience. Rendez-vous sur les terres girondines pour faire le point avec Alain Letailleur, responsable animation commerciale et Thomas Merino, Manager pôle Sud-Ouest, chez SeLoger.

Marché national : bilan et tendances

Après trois années de baisse d’activité, le pire semble enfin derrière nous ! Plusieurs indicateurs clés du marché sont en effet en faveur d’une reprise de l’activité, avec une demande qui refait surface, des taux d’intérêt qui poursuivent leur décrue (3,4 % en janvier 2025), et des stocks de biens qui se reconstituent petit à petit avec +5 % d’évolution en un an.

Autant de facteurs qui annoncent un printemps de l’immobilier en 2025, avec un nouveau cycle haussier, un volume de transactions boosté et un pouvoir d’achat des Français qui devrait retrouver son niveau de 2022. Pour y voir plus clair, d’autres données clés du marché immobilier donnent le ton en matière de bilan 2024 et perspectives 2025 :

2025 : le début d’un nouveau cycle haussier

On le voit bien : en hausse de 10 %, la reprise des projets d’achat devrait permettre au marché de basculer dans une nouvelle dynamique qui laisse espérer un gain de quelque 80 000 à 100 000 transactions sur l’année, soit une hausse de +10 à +12 % de transactions par rapport à 2024, ce qui permettra de frôler les 900 000 opérations d’achat/vente cette année.

Grandes métropoles : vers une stabilisation des prix

Avec prix moyen au mètre carré de 3 794 €/m² pour l’achat d’un appartement dans l’ancien en France au 1er janvier 2025 (+0,4 % en un an), le prix de la pierre devrait repartir à la hausse avec un sursaut d’environ 2 %, porté par les secteurs les plus dynamiques dans un marché contrasté. De fait, la plupart des grandes métropoles accusent le coup avec une accalmie des prix.

Gironde, les tendances du marché

En Gironde, la tendance est plutôt à la stabilisation des prix, avec un très léger frémissement à la hausse de +0,4% en un an pour un prix moyen de 3 520 €/m2 au 1er janvier 2025. Par rapport aux départements proches ou limitrophes, la Gironde arrive en 2e position après les Pyrénées Atlantiques (3 520 €/m2), avec de nombreux porteurs de projets en provenance de ces départements, et pas forcément des grandes métropoles du territoire.

En matière d’activité, la Gironde s’inscrit dans les grandes tendances nationales, avec une reconstitution progressive du volume d’offres en évolution de 4 % par rapport à janvier 2024, ce qui est de bon augure pour les projets de vente potentiels à venir cette année. Les statistiques SeLoger ont par ailleurs permis de mettre en exergue plusieurs données clés en Gironde :

1 million de visites/mois en moyenne sur SeLoger en 2024.
+19 % de demandes en un an, soit a minima un acquéreur ayant envoyé deux formulaires à deux agences immobilières.
250 000 estimations de biens, soit une hausse de 16 % par rapport à 2023.
Des délais de vente qui s’allongent avec un délai moyen de 92 jours, soit +13 jours.
Une baisse de -5 % des recherches immobilières sur Google depuis 2023.

Comment évoluent les prix immobiliers dans les grandes villes de Gironde ?

La carte des prix moyens pour les appartements dans l’ancien met en évidence un grand éclectisme d’un secteur à l’autre, tant en termes de prix, que de types de biens, de profil acquéreur ou encore du montant des honoraires agence.

« Ces disparités sont le signe qu’il est fondamental d’explorer la dynamique des différents marchés en local d’une ville à l’autre et au sein des différents secteurs », indique Thomas Merino, Manager Pôle Sud-Ouest, SeLoger.

Le saviez-vous ? Parmi les différents types de biens, l’annonce la plus cliquée en Gironde, soit le profil type du bien le plus recherché actuellement est une maison de 100 m² à Pessac, dotée de 3 trois chambres, d’un terrain de 100 m², sans piscine ni parking pour une budget global de près de 320 000 € (3 190 €/m²).

La reconstitution des stocks et la hausse de la demande sont des indicateurs clés du marché girondin actuel, tout comme le fait d’identifier des leads qualifiés et finançables et de connaître avec précision quels sont les biens les plus attractifs pour concrétiser une vente. Autant de leviers pour se différencier de la concurrence, en optimisant la visibilité et le ciblage de vos annonces pour faire en sorte qu’elles arrivent en tête par rapport aux autres.

Une équipe locale au plus près de vos enjeux

En 2025, SeLoger se réinvente pour être encore plus proche de vous et vous permettre de capter un maximum d’audience. A commencer par la mise en place d’une équipe locale de professionnels, dont la mission est simple : vous aider à optimiser les solutions que vous avez embarquées pour atteindre plus efficacement vos objectifs de performance et de croissance. « Les prévisions pour 2025 nous laissent penser qu’on peut être optimistes et que les transactions seront effectivement plus nombreuses cette année. C’est pourquoi nous avons mis en place, depuis le 1er janvier, une organisation commerciale régionale de proximité pour vous accompagner au quotidien », indique Thomas Merino.

Une équipe qui vous accompagne au quotidien dans le suivi de vos performances avec un impératif : un rendez-vous trimestriel avec chaque partenaire avec trois objectifs :

Un point marché national et local exclusif

Avec un marché immobilier en évolution constante, notre but est de vous fournir le maximum de données actualisées sur le marché national, mais surtout départemental et local. Grâce à la nouvelle édition de Mon Livret data 2025, retrouvez l’ensemble des données essentielles de l’immobilier national et de votre secteur, avec l’accès à des données immobilière hyper locales et exclusives : tendances de l’offre et de la demande, prix et tendance des prix, délais de vente, types de biens les plus recherchés, pouvoir d’achat des acquéreurs, loyers, rentabilité… Des analyses et de documents exclusifs qui vous permettront d’anticiper les évolutions du marché et de booster vos performances en 2025.

— Un bilan personnalisé et une étude de votre concurrence

Qui dit plus de transactions, dit plus d’acquéreurs et plus de vendeurs, et puisque l’objectif est de capter pleinement cette audience, SeLoger vous propose le meilleur retour sur investissement par rapport aux solutions embarquées. A ce titre, le rendez-vous trimestriel avec un conseiller SeLoger local sera aussi l’occasion de dresser votre bilan personnalisé et l’étude de votre concurrence, en faisant le point autour de trois indicateurs clés :

Le nombre de visualisations.
Le nombre de contacts pour pouvoir calculer le coût contact.
Le chiffre d’affaires réalisé au travers des contacts issus de nos solutions.

Nos actualités SeLoger pour vous accompagner

Après analyse des différents indicateurs et de vos retours sur investissements, SeLoger développe pour vous des solutions adaptées pour vous accompagner de façon ciblée par rapport à vos besoins et dans la prise en compte des nouveaux comportements des porteurs de projets sur votre secteur. « Ce rendez-vous est aussi l’occasion de faire un point trimestriel autour des actualités et nouveautés SeLoger, comme les biens les plus recherchés sur votre secteur, afin de vous aiguiller au mieux dans vos prises de mandat », indique Thomas Merino.

Des investissements de marque pour plus de visibilité et de performance

Aujourd’hui, SeLoger est une marque forte au niveau national avec des campagnes publicitaires régulières : campagnes TV nationales sur des audiences ciblées, affichage publicitaire (presse, mobilier urbain…), campagnes média digital… SeLoger, c’est aussi et surtout le site leader spécialisé en immobilier préféré des Français :

40 % de notre audience consulte exclusivement SeLoger et aucun autre portail immobilier.
6,6 millions de visiteurs uniques par mois.

La plateforme immobilière évolue chaque jour pour redéfinir la façon dont les utilisateurs cherchent et trouvent leur bien idéal, mais aussi pour générer plus de visualisations et de contacts, avec des résultats très positifs à la clé. Autant d’innovations qui doivent permettre de convertir davantage les contacts et vous accompagner dans vos différents métiers et actions grâce aux marques du groupe SeLoger, Logic-Immo et Meilleurs Agents et aux solutions dédiées pour optimiser vos captations d’acheteurs, de mandat et votre visibilité avec le trio Ultimmo.

Un ancrage local renforcé pour optimiser vos captations de mandats et votre ROI

Parmi les nouveautés mises en place en région, le groupe SeLoger renforce son ancrage local au plus près de votre quotidien. Quelque 1,3 million ont été investis en Gironde pour positionner la marque et vous offrir plus de visibilité sur votre secteur et les réseaux sociaux. Un budget dédié à plusieurs campagnes de communication dans la presse locale, ciblant plus de 210 000, un dossier complet paru dans Sud-Ouest, mais encore une vaste campagne d’affichage avec plus de 2 800 panneaux sur du mobilier urbain partout en Gironde et des messages forts non dénués d’humour qui parlent aux locaux.

« Ces campagnes innovantes 100 % locales doivent permettre de toucher quelque 2,5 millions de personnes, soit autant de clients potentiels pour vos agences ! Ces initiatives ont déjà permis de générer des résultats concrets pour maximiser votre ROI, obtenir plus de visites et de leads pour vos annonces avec 20 % d’affichage supplémentaire et 30 % de contacts supplémentaires acquéreur sur le dernier trimestre 2024 par rapport à 2023 », précise Thomas Merino.

Des innovations produit pensées pour vous

Expert à la Une

Une solution idoine pour mettre en avant votre agence en devenant le référant sur votre secteur auprès d’une clientèle ciblée et en recherche active sur les pages d’accueil de SeLoger et Logic-Immo.

Boost Social Immo

Les Français passent en moyenne 1h40 par jour sur les réseaux sociaux comme Linkedin, Facebook, Instagram. Avec Boost Social Immo, vous pouvez booster vos annonces sur les réseaux sociaux les plus incontournables du moment, tout en gagnant un temps précieux grâce à une solution de visibilité automatisée et un accompagnement dédié pour mesurer votre impact et mieux appréhender vos indicateurs de performance.

Or, quand on sait que l’audience Meta sur Facebook et Instagram est de 43,7 millions de visiteurs uniques par jour, une campagne Boost Social Immo permet tout à la fois :

• D’amplifier votre visibilité grâce à un ciblage avancé et exclusif auprès de cette audience.
• De générer 6 fois plus de vues et 2 fois plus de leads.
• De recibler votre audience sur les réseaux sociaux avec 6 millions de visiteurs uniques /jour sur SeLoger.

POUR CONCLURE…

Pour visionner le replay de la web-conférence SeLoger, c’est par ici.

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